Début Avril 1943, Camp de concentration d'Auschwitz, Pologne

Plusieurs mois... Et pourtant, cela semblait une éternité. Il était le prisonnier numéro 247821, ses mêmes chiffres étaient tatoués sur son avant bras. Comme il était jeune, en bonne santé et en bonne condition pour travailler, les allemands ne c'étaient pas encore débarrassé de lui. Il était chargé de nettoyer et d'apporter la nourriture aux Juifs, de les conduire dans les chambres à gaz ou encore de nettoyer les traces de... Enfin, que des choses qui lui faisait mal au cœur. Il c'était lié d'amitié avec un jeune garçon, un juif allemand qui devait avoir 13 ou 15 ans, quelque chose comme ça. Rapidement, les deux jeunes gens se considérèrent comme des frères, et comme Mikhaïl était le plus âgé, il essayait de prendre soin du garçon comme il le pouvait. Souvent, il lui ramenait des morceaux de pains en plus du faible plat qu'il avait eu, ou lui donnait des vêtements propres. Et cela faisait plusieurs mois que le jeune Russe parlait d'une évasion au garçon, une évasion planifier par ses soins et organiser par lui et d'autres prisonniers russes et allemands. Tout ceux qui organisait cela était soldat, ce qui était un avantage.

Le jour J, tout ne se passa pas comme prévu,  seulement trois  personnes ont pu s'échapper, Mikhaïl était parmi eux. Tout se passa pendant la nuit. Les tirs, les cris... Il réussit à sortir de justesse avant qu'une grille venu de nul part condamne la sortie qu'ils avaient crée. D'un côté, il y avait Mikhaïl et de l'autre, le jeune garçon avait lequel il s'entendait parfaitement. L'enfant n'a pas pu arrivé à temps pour sortir et se retrouver alors toujours enfermé à l'intérieur. Les mains sur les grilles, Mikhaïl essayait de l'enlever, mais en vint. Il attrapa alors les quelques doigts du garçons qui passaient à travers le trous de la grille quand il entendit que les gardes arrivaient. "Je reviendrais. Je reviendrais juste pour toi camarade. Je te sortirais de là... Tu as ma parole..." dit-il les larmes aux yeux, ne voulant pas le laisser là. "Mikhaïl, vite !" dit l'un des hommes qui réussi à s'échapper. Il regarda le jeune garçon quelques secondes avant de lui lâcher la main et de partir en courant en évitant les balles que les allemands commençaient à tirer. Aux crépuscules, il était déjà loin et lorsque le soleil se leva, il vit et sentit les rayons du soleil pour la première fois depuis quatre mois...